1. |
Dents De Scie
02:49
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L’aube sur le seuil,
Les vents t’emmènent et plus
Rien ne te concerne
A travers les sentiers battus.
Tu grimpes et tu penses affronter les pentes
Sans crainte jusqu’à la prochaine descente
Les faux pas, les dérapages,
Tu as hâte de tout,
Tu veux du vertige.
Mais ça tu le sais,
Que la vie c’est
En dents de scie
Tu avances vers la chute,
Tu ne te rends pas compte
de la raideur des faux plats.
Loin, des « t’avais qu’a pas »
Mais ça tu le sais.
que la vie c’est
En Dents de scie.
Que la vie c’est
En Dents de scie.
L’aube sur le seuil,
Les vents t’emmènent et plus
Rien ne te concerne
A travers les sentiers battus.
Dans les fausses aventures
ne regarde jamais en bas.
Personne ne sait léviter.
Gare à tes appuis.
Mais ça tu le sais,
que la vie c’est
En dents de scie.
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2. |
Incendiaire
03:31
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Il me semble que les dès
Ne sont toujours pas jetés.
Là-bas au dessus des tirs
Les cerfs volants enflammés.
Encore saigner pour une
Étoile ou un croissant de lune.
David s'acharne sur Goliath
Encore une nouvelle frappe.
Encore les tirs.
Un sang d'hier
Dans les terres sacrées,
Réveille les enfers
Des années-civières.
Un sang d'hier
S’embrase et soulèvera les poussières
Incendiaires
J’aimerai voir tomber,
Sous le poids du passé,
Une pluie de caillasse
Sur les cars et les casqués et allumer
Encore un feu de rancune.
Et toi au loin sur la dune :
"Mais qui distribuent les cartes
Et viennent planter les drap-
Eaux dans les cœurs durs ?’’
Un sang d'hier
Dans les terres sacrées,
Réveille les enfers
Des années-civières.
Un sang d'hier
S’embrase et soulèvera les poussières
Incendiaires
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3. |
Statues
02:53
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Aucune envie d’être figée,
Ai-je eu le choix de prendre le pli?
La tombe aux couleurs de ma chair,
Et tout est au ralenti.
Encore effrayée
Par ce que je vois,
Là, au travers de mes doigts.
Nous, les statues de terre cuites,
Dispersées six pieds sur terre,
Ignorées, comme si de rien était.
L’armée d’argile n’arrivera jamais
Sans dégâts ni blessures.
L’éternel est de pire en pire,
À bas l’empereur de l’empire.
Encore effrayée
par ce que je vois,
Là, au travers de mes doigts.
L’écart se creuse, autant que mes cernes.
Je ne veux pas être pieuse,
Que personne ne me reprenne.
Leurs étoiles me pèsent, j’en oublie la mienne.
L’écart se creuse, autant que mes cernes.
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4. |
Pomme De Pin
04:02
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Les coups de foudre,
Les coups de blues,
Les angles morts
Et les virages qu'on épouse.
Des frissons d'impatience
Le gout du "nous" m'accapare.
À 1000 a l’heure
Je cherche les écarts.
Ma peau se met à frémir,
Jamais certain et inconsolable.
Pour des béguins alourdis
Mes petits chagrins se noient
Comme des gros châteaux de sable.
Mais alors combien d’aiguilles,
Y a t-il dans la botte de foin ?
Qui a chaque fois m’égratigne
Le cœur sous les écailles d’une pomme de pin.
Je me demande, où tout ça nous mène
Quand le courant tourne en un éclair
Parfois ça va, parfois ça me perd,
Tant d’espace entre mes os et ta chair
Quoi qu’il advienne, Carpe Noctem
J’ai quand même l’impression d’y voir plus clair
Mais parfois ça me perd.
Pourquoi s‘acharner à trouver
À mon âme une sœur ou un frère.
Ne serait-elle pas tombée,
Dans un piège en douceur qui lentement se resserre ?
J’ai trop envie de te voir,
j’ai peur qu’attendre jusqu‘à demain
Signe la fin de l’histoire,
Le cœur à découvert, j’ai le cœur pomme de pin
Les écailles se ferment.
Le cœur à découvert, j’ai le cœur pomme de pin
Je me demande ou tout ça nous mène
quand le courant tourne en un éclair
Parfois ça va, parfois ça me perd,
Tant d’espace entre mes os et ta chair
Quoi qu’il advienne, Carpe Noctem
J’ai quand même l’impression d’y voir plus clair
Mais parfois ça me perd.
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5. |
Mauvais Sort
03:27
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À force de croiser les doigt
On finit par se les tordre.
Essayer de rester coi,
Se planquer des mauvais sorts
Où se cachent les paratonnerres
Je sens le ciel qui s'encombre.
Ah ! j'ai les mains qui se resserrent,
Et j'ai les bras qui m'en tombent
J’aurai toujours du mal à m’y faire.
Ces larmes froides,
Ces gouttes de sueur,
Finiront par m'avoir à l'usur.
La route est bien cinglante et sévère
Car rien ne dure.
Ils ont craché dans un livre ouvert…
Les démons claquent les portes,
Effacent tous mes repères.
Où finissent ces histoires en vain/
24 images par secondes.
À l'aiguille de 14 ouverte,
Tracer des lignes et des ombres,
Attendez, je cicatrise encore.
Ces larmes froides,
Ces gouttes de sueur,
Finiront par m'avoir à l'usure.
La route est bien cinglante et sévère
Car rien ne dure.
Où finissent ces histoires en vain
24 images par secondes.
À l'aiguille de 14 ouverte,
Tracer des lignes et des ombres.
Car rien ne dure, rien ne dure,
Je sens le ciel qui s'encombre,
Rien ne dure, rien ne dure.
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6. |
Ville Fantôme
03:12
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Cette ville c’est comme une ville fantôme
Tous les portes se ferment, c’est la zone.
Cette ville est comme une ville fantôme,
Plus personne ne sort
,
Trop de bagarres sur le dancefloor.
Te souviens-tu, de la vie d’avant la ville fantôme ?
On dansait, on chantait,
La ville se souviendra des sons qui détonnent
.
Cette ville c’est comme une ville fantôme,
Pourquoi la jeunesse s’en prend à elle même?
Le gouvernement la fout en quarantaine.
Cette ville c’est comme une ville fantôme
On est là et puis c’est tout
Le temps d’un temps mort
Tout le monde devient fou
Cette ville c’est comme une ville fantôme...
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Symphony of destruction Brittany, France
Analog Label & Distro // Crust Punk // from Brittany, West of France
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